1910-1997
Son job
Pauvre professionnelle et faiseuse de miracles
Sa bobine
Souriante, ou pas...
Sa bio flash
Mère Teresa est bien connue pour avoir œuvré pour la bonne cause et être venue en aide aux pauvres. Née en Macédoine dans une famille bourgeoise, elle porte officiellement le nom d’Agnès Gonxha Bojaxhiu. Bon, on ne vous cache pas que ce petit changement nous simplifie la vie…
Elle est scolarisée dans un couvent dès son plus jeune âge. Après un premier pèlerinage à 12 ans pendant lequel elle se découvre sa vocation de bonne-sœur, elle rejoint les Sœurs de Notre-Dame de Lorette en Irlande à 18 ans. Elle ne reverra jamais sa famille.
Mère Teresa fonde ensuite la congrégation des Sœurs missionnaires de la Charité avec qui elle accomplira plus de 600 missions dans 123 pays différents. Elle s’évertue à venir en aide aux malades et aux nécessiteux jusqu’à décéder d’une maladie cardiaque en 1997.
Mère Teresa en 4 anecdotes :
1/ Une vraie winneuse : Elle remporte de nombreux prix pour ses bonnes actions. Elle est la 6ème femme à recevoir le Prix Nobel de la paix en 1979, elle reçoit également l’ordre du Mérite de la reine d’Angleterre Elisabeth II ou le Joyau de l’Inde de la part du Président.
2/ Une sainte post-mortem : Après deux guérisons jugées miraculeuses et attribuées au fantôme de notre amie Teresa, elle est canonisée par le Pape François. C’est-à-dire qu’elle est promue au rang de sainte en langage moins technique.
3/ Des convictions douteuses : Malgré toutes ces éloges, on lui a aussi reproché ses prises de position radicales contre le divorce, l’avortement et la contraception, ou encore sa vision du SIDA qu’elle qualifiait de « peine tout à fait juste sanctionnant une conduite sexuelle dévoyée ». Une autre époque…
4/ Une comptabilité douteuse : Si les comptes de la fondation sont toujours restés secrets, certains chercheurs s’étonnent des conditions déplorables des « mouroirs » dans lesquels vivaient les malades malgré les millions perçus par sa fondation. Si Mère Teresa affirmait que les pauvres devaient accepter la souffrance et leur refusait les anti-douleurs, elle aurait, pour sa part, choisi de se faire soigner dans un hôpital plus classique aux Etats-Unis.
Son style
Très catholique, logique…
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