Saviez-vous qu’être « chelou » pouvait être une grande qualité pour une exposition ?

Quand l’envie nous prend d’aller voir une expo, et oui, ça nous arrive plus souvent qu’on ne pourrait croire, on se heurte à un obstacle : une offre colossale.
Pour faire le tri parmi toutes les expos présentées en France, il existe une méthode simple : se fier à ses goûts.
Certains sont férus d’Histoire et se pencheront sur des expositions qui explicitent et racontent des moments historiques, d’autres sont fans de mode et fonceront vers l’expo du dernier créateur en vogue, quand d’autres encore préfèreront miser sur des expériences plus immersives.
Bon, ça c’est pour la méthode simple. Mais quand on veut sortir un peu de sa zone de confort, l’idéal est de miser sur les expos de style « Chelou ». Si l’intitulé pourrait rebuter, il réunit en réalité des expositions qui osent des œuvres étranges, parfois gênantes et toujours très enseignantes.
Dans ces expositions, l’intérêt des œuvres ne réside pas forcément dans leur esthétique mais dans leur sens. En misant sur les bizarreries des musées, vous êtes sûr d’apprendre des choses ou, au pire, de bien vous amuser…
L’expo mi-humaine, mi-animale

Le Centre Pompidou met en avant Germaine Richier, la plus grande sculptrice du XXème siècle, aujourd’hui oubliée de la majorité d’entre nous. On y découvre des sculptures mêlant insectes et êtres humains qui interpellent.
En savoir plus sur l’expo Richier au Centre Pompidou
L’expo aux looks improbables

En s’intéressant à l’année 1997, qui marque le passage au XXIème siècle dans l’univers de la mode, le Palais Galliera nous présente des créations parfois loufoques qui ont marqué l’histoire de la fashion sphère.
En savoir plus sur l’expo 1997 au Palais Galliera
L’expo de soupe géante

Carotte, oignon et pomme de terre géante se sont installés au macLYON. Ils cachent des vidéos d’animation où se mêlent un univers enfantin de contes et des sujets cauchemardesques liés à nos peurs et à nos fantasmes.
En savoir plus sur l’expo Le corps est une fine enveloppe au macLYON